À la jeunesse les micros

À la jeunesse les micros
Association
  • L’association rosnéenne Making Waves a installé son studio radio au cœur du Festival d’Avignon, du 11 au 22 juillet.
  • Aux commandes, douze jeunes de Seine-Saint-Denis et du Vaucluse pour parler vulnérabilité, écologie et transmission...

Retrouvez les émissions enregistrées lors du Festival d’Avignon par l’association Making Waves ! 

« Cet été, du mardi au samedi, on sera tous les jours à 19 heures dans le cloître Saint-Louis, au cœur du Festival. On proposera une émission faite de rencontres, de documentaires, on passera des coups de fil à l’étranger. Des émissions assez composites autour d’une thématique différente chaque jour » explique Alexandre Plank qui encadre le projet À la jeunesse les micros. Même s’il est question d’interviewer des gens du Festival, des comédien·ne·s, des artistes comme Julie Deliquet, (ndr directrice du théâtre Gérard Philipe qui ouvre le Festival dans la cour d’honneur du Palais des Papes), les jeunes de Rosny, Gagny, Aubervilliers, Bobigny seront là pour échanger sur des questions qui traversent le Festival. Au total dix thèmes : la vulné- rabilité, l’écologie, les premières fois, la transmission, le collectif, les violences sociales, l’identité, leur avenir, la guerre, la vie qu’on mène. Ils et elles veulent interviewer Thomas Pesquet pour parler de l’avenir de la planète, un des parrains de la Fondation Abbé- Pierre, le Blanc-Mesnilois Sofiane Zermani, désormais habitué d’Avignon. Les jeunes vont aussi donner la parole à de grosses associations comme Oxfam ou Singa en interviewant leurs président·e·s, Cécile Duflot et Benoît Hamon, ex-ministres.

 

Pour donner à entendre un autre pays, une autre situation, les jeunes vont appeler en Amazonie, des Indiens, et au Liban Camille Ammoun qui suite à l’explosion du port de Beyrouth en août 2020 a écrit Octobre Liban. « Il travaille sur les fractures et la réparation de sa ville. Comment une ville se remet d’une telle catastrophe ? C’est complètement en lien avec la question de la vulné-rabilité, le grand thème du Festival cette année » conclut Alexandre Plank.

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